Le traité transatlantique TAFTA pourrait avoir
des conséquences
sanitaires irréversibles sur toute la population
européenne.
Il s'agit d'un évènement
- qui va
heurter la culture de pays comme la France.
- qui va
choquer les valeurs de nos concitoyens.
- qui va
chambouler nos traditions séculaires.
- qui va
sans doute signer la mise à
mort du terroir en Europe.
Tout ce que nous avons entendu sur ce
traité jusqu'à présent n'est que la propagande étatique – ou bien
c'est une partie seulement de
la vérité.
Et la raison est
simple : les négociations se
font dans le plus grand
secret.
Mais certains journalistes-investigateurs sont tout de mème parvenus à découvrir les tenants et les
aboutissants de ce traité, du
point de vue du consommateur.
Le constat est plus qu'alarmant, ce traité aura des conséquence directe sur notre
espérance de vie.
De nombreux citoyens informés s'unissent dans toute l'Europe mais les pétitions de millions de signatures sont restées sans effet devant ces "autres intérêts" qui font voter les politiciens. Et lorsque les gens
prendront conscience du vrai problème :
-
La France comptera de plus en plus d'enfants malformés...
-
On trouvera des traces de "poisons" dans nos analyses sanguines...
-
Les hôpitaux seront remplis de personnes victimes de cancers...
-
Le nombre d'infections, d'allergies et de diabètes décollera...
-
Le diagnostic de maladie de Parkinson aura explosé...
Comme toujours, les informations véritables heurtent les gens non informés.
Beaucoup vont être choqués... Beaucoup vont refuser
d'y croire...
Il y a toujours une
résistance lorsqu'on s'attaque
à des vérités inconfortables.
ET POURTANT, LA PREUVE EST FAITE
Dès décembre 2015
Le TAFTA va donc
provoquer une série de
bouleversements en Europe, qui
pourraient avoir des
conséquences désastreuses
notamment sur notre
espérance de vie et
sur notre pouvoir
d'achat.
En effet, d'ici à la fin de
l'année, de plus
en plus de nos aliments
pourraient être
"empoisonnés" -- sans qu'on ne puisse rien y
faire.
Et cela aura rapidement des conséquences sur notre mode de vie :
-
Ce que nous mangeons et buvons quotidiennement... (les plus riches pourront se préserver en achetant des aliments sains).
-
La manière dont nous faisons nos courses... (le contrôle de la distribution alimentaire par le rachat de gros transporteurs français permettra un total contrôle des prix).
-
La fréquence de nos consultations médicales... dans le cadre du "nouveau plan de santé" qui a été lancé en prévision des conséquences du TAFTA ...
Quel est
le danger auquel nous
devons nous préparer ?
devons nous préparer ?
Les conséquences
diplomatiques, politiques,
économiques, climatiques,
sociales... ne seront rien à côté des conséquences
alimentaires et sanitaires.
Et ce n'est qu'un
début.
Beaucoup voient dans
ce geste un signal d'appel du
président de l'Union
européenne à destination de
ses homologues américains
signataires du TAFTA.
En substance, Juncker
leur a dit : "L'Europe
est prête à suivre vos
règles".
Ce geste a été
précédé de déclarations sans
ambiguïté de la part de nos
représentants politiques. Manuel Valls, lors du
dernier congrès de la FNSEA (Fédération
nationale des syndicats
d'exploitants agricoles) :
"Les biotechnologies sont incontournables"."Toutes les tentatives d'intimidation seront poursuivies".
On ne peut pas être
plus clair !
Nous allons donc voir les OGM faire leur
apparition de manière débridée
dans les supermarchés et les
marchés.
58 OGM sont déjà
commercialisés en France en
plus des nouveaux OGM qui vont
venir se rajouter à cela. Cela
représente une trentaine de
produits alimentaires.
Il n'y a pas de
législation imposant aux
aliments contenant des OGM un
étiquetage spécifique.
Les
accords TAFTA vont déboucher sur une
ouverture quasi sans
concessions du marché des OGM
en Europe, y compris en
France. Il s'agit d'un basculement
majeur qui mettront en danger
notre terroir, nos valeurs et
notre santé.
Des lois
qui bafouent nos libertés
![]() |
Les gens sont
massivement contre, partout
dans le monde.
Le TAFTA est un
traité avant tout économique.
Les sommes en jeux sont
colossales.
Qui plus est, les
deux acteurs principaux, les
Etats-Unis et l'Europe, sont
l'un comme l'autre à bout de
souffle et endettés sur
plusieurs générations.
D'un côté l'Europe, avec 800 millions de
consommateurs – qui représente
un marché pesant pour près
d'un quart du PIB mondial, et qui dispose encore de biens à vendre (aéroports, routes, eaux, énergie...) et de l'autre, les Etats-Unis, dont les
exportations grimperaient de
8% et qui pourraient achever de racheter tous les biens européens, devenant les propriétaires absolus de nos nations et de nos institutions.
Pendant des années,
les Etats-membres de l'Union
européenne ont résisté.
L'opinion publique en Europe a
toujours été massivement
contre l'idée de manger des
OGM.
Mais les lobbies
n'ont jamais renoncé... ils font élire plus de politiciens à leur solde, payent plus de commissions, et finissent par emporter le gros lot !
En fait, ils sont
même en train de mettre en
place un mécanisme de
règlement des différends entre
les investisseurs et les Etats
d'Europe.
Ce mécanisme – encore en discussion à Bruxelles - leur permettra d'attaquer les Etats qui interviendraient à l'encontre des investissements, bafouant par là-même la souveraineté nationale.Il y a déjà plusieurs cas répertoriés, au Canada, en Australie ou encore en Egypte... où les multinationales – comme les marchands de tabac – exigent des milliards aux Etats (et donc aux contribuables) pour entrave au commerce.
Big
Food se frotte les mains... Big pharma attend son tour
Il ne faut pas croire naïvement que notre pays sera
épargné au motif d'une
quelconque exception
culturelle. L'Europe est la cible numéro 1 des grands groupes
agro-alimentaires, et en tout
premier lieu la France où tout le gouvernement est à leur botte:
"La France est notre premier marché pour la zone EMEA [Europe, Moyen-Orient, Afrique] et est donc incontournable. La longue tradition agricole française, combinée au savoir-faire local, a fait de Monsanto un des premiers producteurs pour le marché européen. [...] Nous avons l'intention de continuer à développer nos activités et à proposer des solutions répondant aux attentes des agriculteurs, en France et en Europe." |
On remarque l'habileté de langage : on ne
s'intéresse pas aux
consommateurs ici, mais aux
agriculteurs, avec qui on
pourrait s'entendre plus
facilement apparemment.
Ce fabricant d'OGM
dans le monde a investi 500 millions
d'euros sur les 10
prochaines années pour l'Europe.
Sa présence a
augmenté de 11% en 2014 en
France.
-
Il a investi 75 millions d'euros pour son usine de Trèbes...
-
Il a investi 62 millions d'euros à Peyrehorade.
Il est déjà infiltré
en France et ne compte pas
s'arrêter en si bon chemin.
Pour lui, le TAFTA représente
un marché valant des milliards
d'euros... C'est comme prendre
possession d'un territoire
totalement vierge.
...
au détriment de notre
santé !
Tout commence aux
Etats-Unis avec la
commercialisation des OGM à la
fin des années 1980.
Du jour au lendemain,
des millions d'agriculteurs
américains se sont retrouvés
avec des solutions pour
produire moins cher, plus de
produits.
C'était la solution miracle à tous les problèmes !
Plus de
mauvaises années, plus de
rongeurs, plus d'insectes,
plus de risque d'intempéries...
Les cultures
résistaient à tout !
Dans le même temps,
les consommateurs américains
se sont retrouvés avec des
organismes génétiquement
modifiés dans leurs assiettes
– notamment dans :
-
Les soupes en boite ;
-
Les produits surgelés ;
-
Le lait de soja ou lait pour nourrisson ;
-
Les jus de fruits ;
-
Les céréales pour petit-déjeuner ;
-
Les huiles végétales
-
Le tofu ;
-
La viande (indirectement – nourrie aux OGM) ;
-
Les sodas...
On peut dire qu'on
les retrouve un peu partout
dans l'alimentation des
Américains – et que pour ne
pas manger des OGM, il faut
être extrêmement vigilant.
Comme par hasard, ce
que montrent d'autres études,
indépendantes, c'est que la
santé des Américains a
commencé à décroitre à partir
de ce moment-là: record mondial du taux de cancer: 50% de la population. Ils détenaient déjà le record mondial d'autisme chez les jeunes enfants en raison des vaccins, et depuis les années 1990, s'ajoutent des records en maladies chroniques, allergies et cancers chez les enfants... records auxquels on peut ajouter aussi les adultes avec les maladies de Parkinson et Alzheimer...
![]() |
Ces graphiques
montrent ce qui attend nos enfants dans les années à venir (sauf les très riches qui pourront s'offrir les produits protégés).
Ce que dit
la science
Les 19
OGM que nous allons
vraisemblablement retrouver
dans nos assiettes d'ici peu :
Le maïs : MON 87460, T 25 et NK 603Les sojas : MON 87705, MON 87708, MON 87769, et autres.Le colza : MON 88302 et GT 73
Le soja répondant au
doux nom de MON 87769 entre
dans la composition de toute
une variété de produits
alimentaires :
"... des aliments cuisinés, des céréales et des graines pour petit-déjeuner, des fromages, (...) des pâtes et des sauces, des viandes, des jus de fruits transformés, des snacks, des bonbons (...) mais aussi l'aquaculture". |
Quant au maïs NK 603,
il a fait l'objet d'une étude
très controversée, réalisée
pendant deux ans par le
Directeur de recherche à
l'Université de Caen, le
professeur Séralini (suite à de nombreuses autres en Angleterre, Russie, Inde...)
En nourrissant des
rats avec du maïs modifié NK
603 traité avec le désherbant
phare de la firme OGM (vendu
avec les semences), voici ce
qu'on observe (dans tous les tests) :
![]() |
Les rats soumis à ce
régime alimentaire (celui qui
pourrait nous attendre)
développent des tumeurs dans
des fréquences plus hautes que
les rats témoins.
Des
effets des pesticides sur la
santé...
Fin mars 2015, le
Centre international de
recherche sur le cancer (CIRC)
révélait les résultats d'une
étude qui a fait l'effet d'une
bombe :
Le glyphosate, principal
ingrédient du
désherbant Roundup de Monsanto, serait
"cancérigène probable" selon
la classification de l'OMS.
Et ce n'est vraiment
pas de chance qu'on ne le
découvre que maintenant parce
qu'en France, ce pesticide est le plus utilisé :
"Il est utilisé dans plus de 750 produits pour l'agriculture, la foresterie, les usages urbains et domestiques..." selon le journal Le Monde. |
Il est même
responsable du déclassement de
la qualité de l'eau.
Ce pesticide est donc
dangereux pour les agriculteurs... les jardiniers
amateurs... mais
aussi pour les consommateurs qui en ingèrent des résidus.
Il ne faut
pas chercher plus loin le
scandale sanitaire... Il est
peut-être difficile, voire
impossible, de prouver que les
OGM sont mauvais pour la
santé.
Il est en revanche désormais prouvé que les pesticides le sont.
Et si le TAFTA ouvre
la voie aux OGM, il ouvrira dans le
même temps la voie à ce
genre de poisons
cancérigènes –vendus
de pair avec les semences.
En 2013, l'agence
américaine Associated Press a réalisé un reportage sur
l'utilisation de ces
pesticides en Argentine.
Ils ont découvert
dans une région rurale du nord
du pays les conséquences de l'utilisation des
pesticides.
-
Les malformations chez les enfants ont quadruplé en 10 ans.
-
80% des enfants auraient des résidus de pesticides dans le corps.
-
30% de la population serait atteinte de cancers.
Les photos des enfants avec des
malformations ou encore le
corps couvert de taches
noires sont
insoutenables. Mais il faut
savoir qu'elles existent, et
que les pesticides sont un
poison pour les humains autant
que pour la faune et la flore.
Faites-vous
partie de ceux
qui restent les bras croisés ?
qui restent les bras croisés ?
Jetez un coup d'oeil
sur ces images :
![]() |
C'est la vitesse de
propagation de l'utilisation
de plantations résistantes au
glyphosate aux Etats-Unis. En
12 ans, près de la moitié des
Etats s'y sont mis !
C'est exactement ce
qu'il va se passer en Europe.
Notre
pays déjà est le premier
consommateur de pesticides
en Europe avec 78 000 tonnes
de produits répandus dans
les champs.
Ces pesticides sont
toxiques pour
l'environnement : sol, eau et
air. Ils sont particulièrement
dangereux pour nos paysans.
"Depuis
les années 1980, les
enquêtes
épidémiologiques ont
évoqué l'implication
des pesticides dans
plusieurs
pathologies chez des
personnes exposées
professionnellement
à ces substances, en
particulier des
pathologies
cancéreuses, des
maladies
neurologiques et des
troubles de la
reproduction. Ces
enquêtes ont
également attiré
l'attention sur les
effets éventuels
d'une exposition
même à faible
intensité lors de
périodes sensibles
du développement (in
utero et pendant
l'enfance)" -- INSERM
|
Les études montrent
qu'ils ont également des
effets sur l'homme :
• des effets sur le système nerveux,• des effets cancérigènes,• des effets sur le système hormonal,• irritations de la peau, des yeux et des poumons.
![]() |
Une étude a montré
que les pesticides seraient
jusqu'à 1 056 fois plus
toxiques que
leurs substances actives sur
les cellules humaines.
Pourtant, les
industriels continuent de
sous-estimer les dangers et de
considérer que leurs
pesticides sont "sans
risques inacceptables pour
la santé".
Est-ce que les cas de
cancers et de mort font partie
des risques acceptables ?
Depuis quelques
années, on voit même des
agriculteurs attaqués par les
Etats pour avoir refusé de
traiter leurs récoltes avec
des pesticides !
La
solution de ceux qui
tiennent...
... à la vie
... à la vie
Ne tombez
pas dans le piège !
Face à l'invasion des
aliments modifiés, les Européens vont
très probablement se jeter
dans un premier temps sur
les produits BIO.
Et cela ne manquera
pas d'entrainer toute une
série de problèmes :
Problème
1 : l'augmentation
des tarifs liés à la demande
En 2014, le prix
moyen des fruits BIO s'élevait
à 5,54 euros contre 3,34 euros
pour les fruits
conventionnels. Cela
représente 66% de plus.
Pour les légumes, la différence est de 58%.
Donc à la question :
le BIO est-il plus cher ? La
réponse est claire : oui.
Si l'on considère
qu'un couple peut consommer
pour 30 euros de fruits et
légumes par semaine, cela fait
120 euros par mois... et 1
440 euros par an.
Avec les
mêmes fruits et légumes BIO, la facture s'élève à
192 euros par semaine ou 2304 euros par
an.
Problème
2 : le
marché du BIO est menacé par
le conventionnel
Le marché du BIO est
en pleine explosion... les
ventes ont augmenté de 14% par
an au cours des neuf dernières
années. La tendance devrait
continuer dans ce sens.
Le hic, c'est que les
espaces cultivables sont
limités.
La proximité entre
les parcelles BIO et
conventionnelles entraine des
problèmes, que soulevait une
responsable de l'Union
nationale des agrobiologistes
belges en 2014 :
"Il y a des cas où la pollution est accidentelle, d'autre où il s'agit de mauvaise volonté" de la part des agriculteurs conventionnels, "voire de pollution intentionnelle quand les limites des parcelles sont dépassées de peur des mauvaises herbes" |
Le problème, c'est le
label BIO. Si la production
BIO est polluée par les
pesticides du voisin, elle est
déclassée et perd son label.
C'est un risque de plus en
plus important.
A tel point que selon
la dernière étude de l'EFSA (Autorité européenne
de sécurité des aliments)
portant sur 4 620 aliments BIO
testés :
12,5% des produits labellisés BIO comportaient des traces de pesticides – dont 0,8% au-delà des limites légales.
Il n'y a pas de
miracles face à la propagation
des pesticides.
Problème
3 : Augmentation
des importations.
Ce n'est un secret
pour personne et pourtant...
c'est tellement absurde.
Notre mode de vie
nous pousse à consommer des
aliments qui ne sont pas de
saison et d'accepter, par
exemple, d'importer d'Amérique
latine des produits BIO en
hiver.
C'est une aberration
lorsqu'on considère le bilan
carbone que représente le
trajet entre les deux
continents. Mais c'est une
aberration aussi d'un point de
vue légal.
En
effet, les réglementations
diffèrent entres les pays
exportateurs, et on a vu parfois des produits
BIO arriver -- des concombres,
de l'huile d'olive, des pommes
ou blé en provenance d'Egypte,
d'Espagne ou d'Argentine --
traités aux pesticides ! Et bientôt du BIO américain made in Monsanto !!!
IL NE RESTE QU'UNE SOLUTION: